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  • 06.12.2017

    "J’ai sauvé ces bêtes d’un véritable massacre dans leur pays d’origine" : le directeur de Pinder défend la présence des fauves dans les cirques

    • Description

      Edité par Mariam El Kurdi

      Anne-Laure Barral – Radio France

      Mis à jour le 02/12/2017 | 10:02 – publié le 02/12/2017 | 09:01

      L'association One Voice organise samedi après-midi une manifestation devant le cirque Bormann, d'où s'est échappé un tigre il y a une semaine. Elle réclame l'interdiction des cirques avec des animaux sauvages. Chez Pinder, le directeur se défend de toute maltraitance envers ses animaux.

      "Faites-lui une caresse derrière." Pour vous convaincre que ses animaux sont bien traités, Frédéric Edelstein vous emmène avec lui jusque dans la cage du lion. "S’il y avait de la maltraitance ou de la brutalité, ce serait impossible", affirme le directeur du cirque Pinder.

      Alors que l'organisation One Voice organise samedi 2 décembre une manifestation devant le cirque Bormann, d'où s'est échappé un tigre il y a une semaine, pour demander l'interdiction des cirques avec des animaux sauvages, Frédéric Edelstein nie toute maltraitance envers les animaux de son cirque. Selon lui, ses 12 lions blancs sont bien mieux dans la paille du camion qui leur sert d'abri que là où ils étaient avant.

      J’ai sauvé ces 12 bêtes d’un véritable massacre et d’un business de la chasse dans leur pays d’origine, l'Afrique du Sud, où ils étaient destinés à se faire shooter pour 15 000 dollars

      Fréderic Edelstein, directeur du cirque Pinder

      franceinfo

       

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